Tonino Delli Colli

Cet article est une ébauche concernant un directeur de la photographie et une personnalité italienne.

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Tonino Delli Colli
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Biographie
Naissance
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RomeVoir et modifier les données sur Wikidata
Décès
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RomeVoir et modifier les données sur Wikidata
Nom de naissance
AntonioVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
italienneVoir et modifier les données sur Wikidata
Activités
Période d'activité
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Autres informations
Distinction
Prix David di DonatelloVoir et modifier les données sur Wikidata

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Tonino Delli Colli, né le [1] ou 1923[2] à Rome et mort le dans cette ville, est un directeur de la photographie italien.

Biographie

Il débute à l’âge de 15 ans à Cinecittà comme assistant opérateur avec Ubaldo Arata, Anchise Brizzi et Mario Albertelli. Chef opérateur à 21 ans (Finalmente sí), il signe la photographie d’une cinquantaine de films dont Totò a colori, le premier film italien en couleurs. Il fait une rencontre déterminante avec Pier Paolo Pasolini en 1961 et collabore avec lui sur de nombreux films dont Accattone, le premier film de Pasolini, L'Évangile selon saint Matthieu, Le Décaméron et Salò ou les 120 Journées de Sodome.

Tonino Delli Colli travaille également avec la plupart des grands réalisateurs de son pays[3]. En particulier, c'est lui qui signe la photographie des trois films les plus importants de Sergio Leone : Le Bon, la Brute et le Truand , Il était une fois dans l'Ouest et Il était une fois en Amérique. Il est également le directeur photo des trois derniers films de Federico Fellini : Ginger et Fred, Intervista et La voce della luna. À l'occasion, Delli Colli travaille aussi en France (Lacombe Lucien de Louis Malle, Un taxi mauve d'Yves Boisset).

Sa carrière s'achève en 1997 avec La vie est belle de Roberto Benigni, qui reçoit l'Oscar du meilleur film étranger.

Filmographie

Années 1940

Années 1950

Années 1960

Années 1970

Années 1980

Années 1990

Note

  1. « Tonino Delli Colli », sur IMDb (consulté le )
  2. (en-US) Brian Wingfield, « Tonino Delli Colli, Prolific Cinematographer, Dies at 81 », The New York Times,‎ (ISSN 0362-4331, lire en ligne, consulté le )
  3. Tonino Delli Colli, par Marc Salomon, dans La Lettre de l'AFC n° 146, septembre 2005 [1]

Liens externes

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