Monique Sioui

Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus.
Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus.

Cet article ne cite pas suffisamment ses sources ().

Si vous disposez d'ouvrages ou d'articles de référence ou si vous connaissez des sites web de qualité traitant du thème abordé ici, merci de compléter l'article en donnant les références utiles à sa vérifiabilité et en les liant à la section « Notes et références ».

En pratique : Quelles sources sont attendues ? Comment ajouter mes sources ?

Page d’aide sur l’homonymie

Pour les articles homonymes, voir Sioui.

Monique Sioui
une illustration sous licence libre serait bienvenue
Biographie
Naissance
Voir et modifier les données sur Wikidata
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 46 ans)
Fratrie
Christine Sioui-WawanoloathVoir et modifier les données sur Wikidata

modifier - modifier le code - modifier WikidataDocumentation du modèle

Monique Sioui, née à Wendake au Québec, le et a grandi à Odanak et est décédée à Val d'Or, le . Monique Sioui fut une militante des droits des femmes et des enfants autochtones. Elle fut la sœur de l'artiste Christine Sioui-Wawanoloath, la tante de l'ex député péquiste Alexis Wawanoloath et parente de l'ancien lecteur de nouvelles et animateur de radio-télévision Jean-Paul Nolet. Cette militante fut Wendate par son père et Abénakise par sa mère.

Biographie

Monique Sioui est une des fondatrices de l’association des Femmes autochtones du Québec, elle en fut la présidente en 1976. Sous son mandat, une tournée et deux enquêtes furent initiées au Québec. La première enquête portait sur les articles discriminatoire de la Loi sur les Indiens, il y est entre autres recommandé que les femmes autochtones ne perdent plus leur statut quand elles marient un non-indien. En 1980, elle se rend aux Pays-Bas pour la 4e rencontre du Tribunal Russell où elle dénonce l’aspect discriminatoire de la Loi sur les Indiens. Par la suite, elle continue sa bataille contre la violence conjugale, familiale et sexuelle, particulièrement sur la communauté Algonquine de Kitcisakik en Abitibi. Pour souligner sa grande contribution au mieux être des communautés autochtones, elle reçut en 1998, à titre posthume, le Prix Droits et Libertés de la Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse[1].

Notes et références

  1. [PDF] Biographie de Monique Sioui dans le retour sur le colloque Ittinéraire d'égallité organisé par les FAQ et le réseau dialog page 69
  • icône décorative Portail des Nord-Amérindiens
  • icône décorative Portail des Autochtones du Canada
  • icône décorative Portail du Québec